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HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROON REINVENTE L'HISTOIRE DU BASKETBALL CAMEROUNAIS

Publié le par Cédric Ottou ( Prince2Bana )

HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROON REINVENTE L'HISTOIRE DU BASKETBALL CAMEROUNAIS

L’information sur Basketball le basketball Camerounais aujourd’hui vie une révolution grâce à des initiatives prise par des passionnés bénévoles donnant de leur temps sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google+ etc…) et internet afin de faire vivre par le grand public en tout temps leur passion. C’est dans cette optique nait le projet HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROUN (HOFBballCameroun) qui aujourd’hui est la vitrine du basketball camerounais on peut y trouver toutes les informations utiles : L’histoire du basket Camerounais, Équipes, Statistiques, Actualités de tous les acteurs du Basketball Camerounais, ainsi dit nous nous sommes rapproché de son promoteur, Monsieur Philippe Lélé grand passionné de basketball, (plus de 30 ans sur les playground Camerounais et Français) Diplômé en Ingénierie de l’informatique et en management de projet d’entreprise. Aujourd’hui résidant en France, coordonnateur des activités du HOFBballCameroun et ses ramifications représentées aujourd’hui dans presque tous les continents.

AfrikFirst : Bonjour Philippe ?

Philippe Lélé : Bonjour C’est un plaisir de vous recevoir

AF : Tout d’abord parlez-nous de la création du HOF ?

P.L : En fait l’idée au départ dans la création du HOF, est une inspiration réunissant quelques amis d’enfance passionnés de basketball, dans un désir de se réunir, et de se remémorer nos souvenirs basket au pays, repenser aux bons souvenirs de cette époque et en profiter pour rendre un hommage à nos ainés, qui nous ont donné envie de pratiquer ce sport, nous avons pour ce fait créer le groupe « HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROUN » sur FACEBOOK, ce qui constitue sa base de départ.

Par la suite nous avons vite constaté que notre projet ne pouvait pas s’arrêter là et qu’il fallait faire plus, c'est-à-dire créer une véritable structure média sur le net, pour rassembler tout les fans du Basketball dans la bonne humeur et le respect de chacun.

Je ne peux pas parler du HOF sans évoquer ses 10 administrateurs sans qui l’histoire de ce projet ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui :

  1. Binam Philippe
  2. Abel Nson
  3. Aziz Souleyman
  4. Christian Nkamhoua
  5. Maureen Rosita Ojong Ebob-Besong
  6. Pierre Gonhameu
  7. Erika Djadjo
  8. Patrick Onye
  9. Stéphan Nieniel Eyango
  10. Christian Nana

AF : HOF en quelques mots ?

P.L : HOF veut simplement dire « HALL OF FAME » nous l’avons associé au Basketball, car c’est le terme qui nous paraissait le plus significatif pour mettre en évidence la richesse du basket camerounais, d’où le nom « HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROUN », nous nous inspiré du HALL OF FAME aux états unis pour l’adapter aux réalités de notre continent.

AF : HOF en quelques chiffres ?

P.L :

- plus de 2600 membres sur Facebook
- plus de 1000 vues par semaine sur sa page Facebook
- plus de
480 followers sur Twitter
- plus de 1200 visites par semaine sur son site HOF

AF : Les plus grandes acquisitions ou réalisations de HOF aujourd’hui ?

P.L : Le projet HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROUN est encore jeune, il a eu 1 an il ya quelques semaines, mais nous sommes très heureux de l’engouement autour de ce projet. Aujourd’hui le projet HOF est constitué d’un groupe HOF sur Facebook, une page HOF, un site internet HOF, un compte HOF sur Twitter, 3 boutiques HOF, (donc 2 boutiques en ligne pour les Etats Unis, l’Europe, et l’Asie, et une boutique à Douala, au Cameroun), Un TV HOF sur le net où on diffuse régulièrement des programmes Basket pour les internautes.

AF : Le plus beau souvenir de HOF ?

P.L : Pour l’instant si je devais désigner le plus beau souvenir du HOF serait la période de la couverture de l’AFROBASKET 2013, Dames et Messieurs. Cette période était vraiment très intéressante car elle nous a permis de juger de l’engouement des fans pour le basket africain.

AF : Comment est-ce que le publique camerounais a accueilli le projet HOF ?

P.L : Très bien, nous avons vraiment été surpris, par les réactions très positives du public camerounais, en 1 an nous avons pu réunir plus de 2600 membres rien que pour le groupe HOF sur facebook, ce qui est vraiment très significatif.

AF : Les projections de HOF sur les prochaines années ?

P.L : Avec le HOF nous avons l’intention de réaliser annuellement dans les années à venir des évènements divers autour du basket au pays (tournois, Match All-stars Legends, soirées HOF, Camps de basket HOF etc…) afin de mobiliser encore plus de fans autour de ce sport.

AF : Un mot de fin ?

P.L : Déjà je voudrais vous remercier pour cette opportunité que vous nous avez donnée de pouvoir parler de notre projet HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROUN. Nous espérons pouvoir dans le futur mobiliser encore plus de monde autour du basket. Et pouvoir développer cette structure, pour permettre à toutes les générations de faire vivre ce sport avec plus d’ardeur sur le continent.

AF : Nous vous remercions et bonne continuation

© Prince2Bana Décembre2013

Liens Utiles: https://www.facebook.com/groups/halloffamecameroun/

http://trackerbasketballcameroun.tumblr.com

Twitter: @hofbballcamer

Philippe LELE Promoteur du HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROON

Philippe LELE Promoteur du HALL OF FAME BASKETBALL CAMEROON

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Un Buteur Camerounais peut en Cacher un autre: Jean Marie Dongou Tsafack sur les pas de Samuel Eto'o

Publié le par Cédric Ottou ( Prince2Bana )

La fundesport (section  sport  la Fondation de Samuel Eto'o) peut être fière du travail abattu pour le football du continent ces dernières années , car elle a produit des talents sûre ou en devenir on peut citer qui font la fierté de nombreux clubs sur le globe : Lionel Enguene, Gaël Etock, Fabrice Olinga  et beaucoup d'autres en font parti. Depuis quelques jours un de ces prodiges fait particulièrement parler de lui Jean Marie Dongou : Le prémier joueur africain formé à la Masia  à jouer avec l'équipe première du club catalan.

Le 06 Décembre 2013 à l’occasion du match de 1/16ème de finale aller de Copa del Rey sur le terrain du FC Cartagena. Pas surpris de ne pas être titulaire Jean Marie va espérer sa chance tout le match car pour sa première convocation avec l’équipe première en championnat d’Espagne lors de la 14e journée contre  Grenade CF le 23 novembre dernier, il était resté sur le banc tout le match, finalement entré en 2ème mi-temps, il  va  marquer d’une pierre blanche l’histoire de sa carrière en inscrivant son premier but en match officiel sous la tunique du blau grana.

Encore Excité le jeune butteur africain dit : Quand tu joues avec l'équipe première, ton rêve est de marquer, et j'ai eu la chance de pouvoir le faire  le jeune garçon de la Menoua (Département de l’Ouest Cameroun) plus tard il conclut disant : Je suis content pour ce but, mais je sais aussi que mon équipe est le Barça B et que je dois continuer à travailler.

Le 11 décembre 2013, soit cinq jours seulement après avoir gouté aux délices de la Coupe du Roi, le natif de Douala va découvrir la reine des compétitions européenne des clubs en effectuant sa première apparition en Ligue des Champions au Camp Nau face au Celtic Glasgow. Désormais, il ne lui manque plus qu’une apparition en Liga pour que la boucle soit bouclée. Et ceci ne saurait tarder à notre avis.

  Le jeune Camerounais que de nombreux socios volent déjà comme le futur Samuel Eto’o arrive dans la maison catalane en 2008, alors âgé de treize ans, en provenance du centre de la fundesport,  arrive à La Masia, (le centre de formation du FC Barcelone)

À l'âge de 16 ans, Jean Marie Dongou débute avec l'équipe première du FC Barcelone le 9 août 2011 en finale de la Copa Catalunya.

Au début de la saison 2013-2014, l'entraîneur du Barça B Eusebio Sacristán lui confie le maillot frappé du numéro 9 faisant de Jean Marie Dongou le titulaire au poste d'avant-centre1.

Le 24 juillet 2013, il dispute un match amical avec l'équipe première du FC Barcelone lors de la défaite 2-0 face au Bayern Munich. Trois jours plus tard, il inscrit ses deux premiers buts avec le FC Barcelone face a la modeste équipe norvégienne de Vålerenga alors qu'il était rentré a la mi-temps en remplaçant Lionel Messi. Le 2 août, Dongou inscrit un but avec le FC Barcelone face à Santos FC lors du Trophée Joan Gamper (victoire 8 à 0).

Beaucoup de courage à ce jeune lionceau  aux dents longues, qui sait ?fera t-il peut être parti de l’effectif des  lions indomptables du Cameroun pour la coupe du monde Brésil 2014.

© Prince2Bana

Jean Marie Doungou l'avenir du FC barça
Jean Marie Doungou l'avenir du FC barça

Jean Marie Doungou l'avenir du FC barça

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LA PLUS JEUNE FEMME DEPUTE DU MONDE EST OUGANDAISE: PROSCOVIA OROMAIT ALENGOT

Publié le par Cédric Ottou ( Prince2Bana )

Elle s'appelle Proscovia Oromait Alengot , en septembre 2012 sous les couleurs du Mouvement de Résistance Nationale (NRM), le parti du président Yoweri Museven; Est élue député ce qui fait d'elle la plus jeune parlementaire du continent africain, et peut-être même du monde. Proscovia souhaitait d’abord achever ses études de communication, mais elle s’est subitement retrouvée sous les feux des projecteurs après le décès de son père, Michael Oromait, parlementaire très populaire, en juillet dernier. Investie candidate du NRM, elle a remporté haut la main [...]

Cette Ougandaise de 20 ans tout juste, à cependant deux handicaps à surmonter. Jeunesse et Féminité , mais son parcours Extraordinaire nous laisse présager une bonne aventure...

Affaire à suivre...

© Prince2Bana

Mademoiselle Honorable Proscovia Oromait Alengot à 20 Ans
Mademoiselle Honorable Proscovia Oromait Alengot à 20 Ans

Mademoiselle Honorable Proscovia Oromait Alengot à 20 Ans

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Quand l'Afrique innove, du chargeur solaire pour portable au charbon de roseau

Publié le par Cédric Ottou ( Prince2Bana )

Un roseau envahissant transformé en charbon de cuisine, l'énergie solaire pour charger téléphone portable, appareil auditif ou encore une bourse agricole en ligne: l'Afrique innovante était en vedette jeudi à Paris dans le cadre d'un forum réunissant inventeurs, industriels et financiers.

Au total, 100 projets venus de 33 pays africains ont été sélectionnés par un comité d'experts internationaux sur quelque 800 dossiers reçus après un appel lancé en septembre par le ministère français du Développement et l'Agence française du développement (AFD).

Jeudi, 21 d'entre eux étaient présentés à un parterre d'hommes politiques, ONG, industriels et organismes de financement à Paris, à la veille de l'ouverture d'un sommet "Pour la paix et la sécurité en Afrique".

Parmi eux, Bena Ould Mouhamed Lemine, venu de Rosso dans le sud de la Mauritanie. Ce jeune ingénieur a développé un processus de fabrication de charbon de cuisine à partir du typha, un roseau qui prolifère depuis plusieurs années sur le fleuve Sénégal, envahissant parcelles agricoles, zones de pêche et canaux d'irrigation.

Trois unités de production artisanale ont déjà été installées autour de Rosso, mais "on pourrait alimenter toute la Mauritanie en charbon de typha et préserver ainsi nos faibles ressources en bois", s'exclame, enthousiaste, M. Lemine, qui cherche des partenaires pour exporter son projet au Mali et au Sénégal, deux pays également touchés par l'invasion de typha.

"Ces entrepreneurs proposent des solutions simples qui vont changer le quotidien de beaucoup d'Africains", souligne Malamine Koné, PDG de l'équipementier sportif Airness et membre du comité de sélection des "100 innovations pour un développement durable".

"Aujourd'hui, on parle beaucoup du Mali, de la Centrafrique, de l'Afrique et de ses difficultés mais il est temps de montrer que ce continent regorge de talents et a beaucoup à offrir aux autres", ajoute-t-il.

Utopie réaliste

Le Rwandais Henry Nakarundi vivait aux Etats-Unis quand il est rentré pour des vacances voir ses parents. "Partout où j'allais, j'avais mon chargeur de téléphone sur moi et dès que je voyais une prise électrique, dans une boutique, un bureau, je branchais mon portable".

"En rentrant aux Etats-Unis, j'ai cherché une solution, il n'y en avait pas". Aujourd'hui, Henry Nakarundi, 36 ans, vit à Kigali et a conçu avec l'aide d'un ingénieur polonais un kiosque mobile qui permet de charger 16 téléphones mobiles en même temps grâce à l'énergie solaire, mais aussi en pédalant.

A ce jour, cinq kiosques ont été mis en service au Rwanda et au Burundi. "Ce que je cherche ici à Paris, ce sont des investisseurs et des partenaires dans les télécoms", confie-t-il, car "en zone rurale, les gens ne peuvent utiliser le portable parce qu'ils n'ont pas accès à l'électricité".

Bourse agricole en ligne au Sénégal, permettant aux producteurs d'oignons d'accéder directement aux grossistes et donc d'améliorer leurs marges; monnaie alternative en papier permettant aux commerçants d'un bidonville de Mombasa (Kénya) d'échanger leurs biens entre eux; laboratoire pharmaceutique valorisant la pharmacopée traditionnelle au Togo: "Ce qui les motive, c'est de résoudre les problèmes", constate le ministre français du Développement Pascal Canfin.

"On n'est pas dans la lamentation mais dans l'innovation, la recherche de solution, dans une utopie réaliste", se félicite-t-il. "Nous devons valoriser cette énergie-là", estime le ministre, jugeant "incroyable que ce type d'innovation dont l'intérêt saute aux yeux ne trouve pas de financement".

"Ici nous voyons ici une Afrique qui prend son destin en maison. Notre responsabilité c'est de l'accompagner. Si on ne le fait pas d'autres le feront", insiste-t-il.

En Tunisie, Bellachheb Chahbani a mis au point un système d'irrigation enterré qui utilise 60% d'eau en moins que le goutte-à-goutte traditionnel. Son "diffuseur enterré", qui permet aussi de stocker l'eau pendant la saison des pluies, a déjà trouvé preneur au sultanat d'Oman comme aux Etats-Unis. "Ce que je veux maintenant, dit M. Chahbani, c'est transférer cette technologie aux plus démunis d'Afrique".

source © 2013 AFP

Des hommes au téléphone sur leur portable à Abidjan en Côte d'Ivoire, le 23 juin 2009

Des hommes au téléphone sur leur portable à Abidjan en Côte d'Ivoire, le 23 juin 2009

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Un Américain d’origine camerounaise veut être maire de Washington D.C.

Publié le par Cédric Ottou ( Prince2Bana )

Un Américain d’origine camerounaise veut être maire de Washington D.C.

Nestor Djonkam, citoyen américain d’origine camerounaise, vit à Washington depuis

20 ans. Agé de 46 ans, il s’est engagé à la course pour succéder au maire Anthony Williams du district fédéral de Columbia.

Dans un entretien avec Henry Francisque, M. Djonkam a affirmé avoir déjà recueilli, en une semaine et demie, 700 des 2.000 signatures nécessaires à la validation de sa candidature pour les élections primaires du parti démocrate. C’est à l’issue de ces primaires que le candidat démocrate sera connu.

Nestor Djonkam dit qu’il est impliqué dans la politique américaine depuis 18 ans. Concédant qu’il ne dispose pas de la machine bien huilée des autres candidats, M. Djonkam affirme que son enthousiasme et sa détermination lui permettront de réussir. Les habitants de Washington sont impressionnés qu’un Africain venu de loin essaie de s’imposer sur la scène politique américaine, a-t-il affirmé.

Source:

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CAMEROUN - RÉVÉLATION : LE MAITRE SPIRITUEL DE MARC-VIVIEN FOÉ M’AVAIT DONNÉ UN TOTEM

Publié le par Cédric Ottou ( Prince2Bana )

Il est venu au Cameroun, en vacances au mois d’août. Sa famille lui manquait. Il a décidé de mettre un terme à sa carrière internationale, à cause des pratiques magico-sataniques. Cet ex-footballeur Camerounais, reconverti dans les affaires, se met à table.

Bonjour Benjamin Diboué, parlez-nous de vos débuts dans le football.
Au Camero
un? j’ai évolué dans les Championnats de Vacances, la coupe Top, des Brasseries du Cameroun.

Comment êtes-vous parti du Cameroun ?
Au cours d’un match de football au quartier Biyem-Assi en 2002, je fus détecté par un technicien Congolais, des « fauves du Niari » C’est comme ça que je suis parti au Congo pour évoluer.

C’était votre premier contrat ?
Exact, un contrat qui m’avait effrayé. Je n’ai jamais eu peur dans ma vie footballistique. C’est la raison pour laquelle, j’ai tenu à vous faire des confidences. Car, le monde du football, c’est autre chose. Cela n’a rien à voir avec ce que les jeunes pensent. Vraiment c’est l’enfer.

Nos lecteurs vous écoutent
A mon arrivée dans les « fauves du Niari », j’avais été très bien logé et très bien traité. Le jour que je signe mon contrat, il y’avait une femme de nationalité Française, qui était là. Je ne la connaissais pas. Je ne l’avais jamais vu. A mon arrivée au Congo, on ne me l’avait jamais présentée. Mais juste après avoir signé mon contrat, le président du club, m’avait convoqué dans son bureau, pour me faire savoir que le Club donne à chaque joueur un maitre spirituel. J’étais bouleversé car, auparavant, je n’avais jamais entendu parler d’une telle chose. Ayant constaté ma froideur, le président précisa tout simplement, qu’il y’avait rien de grave. Juste un guide spirituel.

Avez-vous eu des informations par rapport à cette française ?
Je vous explique. Après avoir eu le premier contact, elle est rentrée en France. En me promettant des lendemains meilleurs dans ma carrière. Je n’y comprenais toujours rien et j’attendais de voir. J’avais peur, et en même temps, je pensais à ma famille au Cameroun. Qui était noyée dans la pauvreté. J’avais un bon salaire. Lorsque cette femme est revenue au Congo, elle m’a donné une chaine que je devais porter autour des reins, cette chaine, faisait paniquer les adversaires. Une force bizarre était en moi. J’avais remarqué que le plus souvent, les joueurs de l’équipe adverse, paniquaient, lorsqu’ils étaient face à moi. Un jour, après le match, le maître spirituel m’avait donné rendez-vous dans sa chambre d’hôtel. Quand je suis entré, je l’ai aperçue avec un gros serpent autour de son corps. J’avais eu très peur. J’avais voulu fuir. Alors, je me suis retourné et je me suis croisé nez à nez avec le président. Il m’avait tout de suite expliqué que ce n’était pas la peine de partir. Car la chaine que je portais sur moi, était un totem, le serpent. Chacun de mes coéquipiers avait un totem, m’avait-il expliqué. Puisque je connaissais déjà une partie de la vérité, mon maître spirituel me déclara que, de son vivant ; Marc-Vivien Foé ; était aussi sous son contrôle. Et, avait le même totem. Sans tarder, j’ai demandé si j’allais aussi mourir comme Marc-Vivien Foé. Mon maître spirituel me répondit par la négative. Tout en me précisant que, Marco avait demandé plus de pouvoir et avait fini par ne pas respecter la condition.

Votre maître spirituel, vous a-t-il parlé de cette condition ?
Oui, en effet, Marco avait demandé à notre maître spirituel de l’emmener rencontrer la reine de la mer. Pour qu’il obtienne plus de pouvoir. Après cela, il était censé sacrifier sa mère. Mais, il avait refusé de le faire. Ainsi, lors de cette journée fatidique du 26 Juin, un esprit est sorti des eaux a frappé son cœur et l’a tué instantanément.

Il savait qu’il allait mourir ?
Oui il le savait. Il avait fait un pacte et il ne l’a pas respecté.

Comment faisiez-vous les pratiques avec votre chaine ?
Pendant le match, le match, lorsque j’avais le ballon, es joueurs de l’équipe adverse qui venaient me barrer, voyaient le serpent. En lieu et place du ballon. Ça dépend des totems, lorsque ton totem est le tigre, les joueurs adverses voient le tigre devant eux. C’est cela le football. Tu ne peux rien sans cela. Regardez mes photos que je vous ai données. J’ai toujours une chaine autour du cou. C’était mon totem. Certains footballeurs louent les cadavres à la morgue pour faire des pratiques à la veille des matches. D’autres trempent leurs maillots dans les urines traitées par des sorciers pour jouer au football.

Pourquoi avez-vous arrêté le football ?
Tout simplement parce que les conditions devenaient de plus en plus compliquées. J’ai compris que lorsque vous avez un gros salaire, il y’a des sacrifices à faire. Au Cameroun, ce n’est vraiment pas encore cela, car les présidents de club ne sont pas associés avec les sectes d’Europe. Au Congo, il y’a beaucoup de présidents de club qui sont Rosicruciens, Francs-Maçons, et qui sont membres dans les grandes loges en Occident. Et, c’est là-bas qu’ils prennent des maîtres spirituels pour donner aux joueurs et ceux-ci à leur tour vous donne un totem. Qui peut être, un serpent, un scorpion, un lion, un tigre. Un totem c’est toujours un animal qui fait peur. Toutes les stars du football ont un totem. Tous.

Comment le savez-vous ?
Mon maitre spirituel m’avait emmené dans certaines loges lorsqu’elle voulait me donner plus de pouvoir. C’est là-bas que j’ai vu de mes propres yeux, tous les footballeurs qui ont pactisé avec le diable.

Pourquoi n’avez-vous pas pactisé ?
Si je le faisais, j’allais jouer dans les plus grands clubs européens, avoir un grand salaire, mais au même moment les membres de ma famille, allaient mourir.
Que pouvez-vous dire de l’équipe nationale du Cameroun ?
Oh là-bas, c’est l’enfer ! le diable y règne en grand maître. Beaucoup de ces joueurs sont homosexuels, francs-maçons, rosicruciens. Il y’a quatre joueurs dans cette équipe qui ont tué les membres de leurs familles. J’ai beaucoup d’amis footballeurs qui ont refusé de jouer à l’équipe nationale. Les problèmes qui existent entre les joueurs proviennent des loges, de l’homosexualité. Vous savez, moi, j’ai toujours rêvé, jouer dans les grands clubs, même à l’équipe nationale. Mais ce que j’ai vu est incroyable. J’ai le peu que Dieu m’a donné, vraiment, je m’occupe de ma famille.

Quels conseils donnez-vous aux jeunes qui jouent ou qui veulent jouer au Football ?
Je leur demande de se contenter des petites équipes, de bien lire leur contrat avant de parapher et de ne jamais accepter un maître spirituel.

A propos du maître, comment s’est passé la séparation ?
Je me suis rendu compte que la chaine que je portais était un totem, je ne m’adonnais plus beaucoup au cours du match. Et, pour cela, le coach commençait à me remplacer et, au même moment, je contactais un exorciste à qui je posais le problème et c’est ainsi que je me suis débarrassé de cette maudite chaine.

Le mot de la fin
Je dis pour finir aux jeunes footballeurs de faire attention avec le football. Ne regardez pas les grandes stars, je ne veux pas les citer. Je les connais tous. Chers amis, vous pouvez jouer dans une petite équipe avoir 1.500.000 CFA de salaire, et faire votre vie simplement.

© Source : Thièrval

Les pratiques de sorceleries dévoilée dans le Football Camerounais.

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